Bas-carbone : comment TSO SARL va réduire son empreinte environnementale ? #RSE #climatique #co2 #TSOSARL #environnement
Depuis 2019, TSO SARL déploie un plan ambitieux de réduction des émissions occasionnées par son activité. Ce projet « Bas-carbone », piloté par Monsieur Samuel Nivault, Dirigeant de TSO, concerne toutes les activités directement ou indirectement impliquées dans la protection des métaux . En 2021, sous l’impulsion du Dirigeant, TSO SARL a réévalué ses objectifs bas-carbone avec une cible encore plus ambitieuse : 30 % d’émissions de CO2 en moins dès 2025 par rapport à 2019.
le Groupe s'est engagé à mesurer et réduire nettement l'empreinte carbone de ses opérations industrielles. Ce plan implique toutes les activités du Groupe.
« Concrètement, il s’agit d’établir un plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans notre site de production à Vernouillet », explique Samuel Nivault. « L’ensemble des émissions liées à l’activité du groupe, réparties en deux « scopes », sont concernées : le scope 1 pour les émissions directes de gaz à effet de serre (chauffage, combustion de carburant dans nos bancs d'essais…) ; le scope 2 pour les émissions indirectes liées à nos consommations d'énergie (électricité et chaleur principalement).
Des consommations d’énergie revues en profondeur
Cibler les consommations d’énergie fait partie des axes prioritaires du Groupe. TSO SARL a déployé une stratégie énergétique et qui s’articule notamment autour des leviers suivants :
- Performance énergétique du site à Vernouillet ;
- Réduction des consommations énergétiques du site existant ;
- Changement de sources énergétiques pour le chauffage ;
- Achat d'énergie décarbonée ;
- Production d'électricité renouvelable sur site.
Ces actions déjà engagées depuis 2019, doivent permettre de réduire les consommations d'énergie fossile du site TSO SARL et de soutenir le développement des énergies à faible empreinte carbone, à utiliser aussi bien pour les besoins des bâtiments que pour ceux de la production industrielle.
« L'efficacité énergétique d'un bâtiment est désormais un critère pris en compte dans chaque projet immobilier – à l'image du Groupe », précise Samuel Nivault.
L’intégration d’un Prix Interne du Carbone
Pour aller encore plus loin dans la décarbonation des processus industriels, TSO a également mis en place un Prix Interne du Carbone (PIC), aujourd’hui applicable aux investissements. « Ce dispositif doit nous encourager à aller vers des solutions moins émettrices de CO2. En attribuant une valeur monétaire aux émissions polluantes, le « coût environnemental » devient un élément de comparaison supplémentaire, au même niveau que les autres. Entre deux solutions équivalentes, il peut nous permettre d’identifier la plus « propre ». Le PIC dynamisera également les investissements de remplacement de nos équipements les plus vétustes et polluants », explique Samuel Nivault.
Utilisation de carburants durables pour les traitements des métaux à partir de 2023
Pour maintenir les efforts de décarbonation malgré l'impact de la crise du Covid-19 sur l’activité, TSO a révisé ses objectifs à la hausse : d'ici 2025, le Groupe vise désormais une baisse de 30 % de ses émissions des scopes 1+2 par rapport à 2019. Parmi les différents moyens à disposition pour atteindre ces objectifs, TSO s’engage à utiliser des carburants durables pour le traitement des métaux.
« Par exemple, pour contribuer à la protection des métaux de nos clients, nous utilisons de la peinture poudre (thermo-laquage) plutôt que de la peinture liquide. La raison est que la peinture poudre diffuse pas de COV (composés organiques volatils) et par conséquent protège la couche d'ozone. Les peintures poudre sont actuellement la solution peinture la plus compétitive. Elles permettent une mise en œuvre simplifiée et écologique pour réaliser des finitions uniformes et durables. » Explique le Dirigeant de TSO.
Avant la fin de l’année 2021, les fours et les chaines de productions devront incorporer 10 % de carburants durables, et ce niveau s’élèvera à plus de 35 % en 2025. C’est également un élément de cohérence et d’exemplarité avec la vision de TSO pour la décarbonation du secteur métallurgique, où ces carburants joueront un rôle fondamental.
Et malgré la crise du Covid-19, TSO tient le cap : « Si ce projet est une question de responsabilité, et une réponse aux attentes de nos parties prenantes (salariés inclus), il relève aussi d’une logique de performance. Car optimiser nos processus et nos consommations d’énergie revient, à terme, à optimiser nos coûts récurrents. En plus de la priorité environnementale, cette stratégie porte un enjeu majeur d’efficacité industrielle », conclut Samuel Nivault. Autrement dit : la transition écologique et énergétique de TSO est en marche. Et rien – pas même une pandémie – ne pourra l’arrêter.
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